Je suis allée à Aubigny vendredi soir et j'ai pu profiter un petit moment du vernissage qui avait lieu chez Jean, au Bien Aller (Voir note du 07/11). La salle était comble et les petits fours disparaissaient dans des gosiers gourmands, familiers et amicaux. La danse des bises a donc commencé.
J'ai enfin discuté avec les parents d'Etienne. Ce dernier est parti en stage à Londres. Sa famille est allée lui rendre visite. Ils m’ont décrit un séjour agréable et culturel. J'aimerais beaucoup aller à Londres. Leurs propos et le dernier Woody Allen, Match Point, m'en ont donné l'envie. Mais j’avoue que cette destination n’est pas encore une de mes priorités.
Il y avait longtemps que je n’avais pas pris mon traditionnel petit déjeuner en compagnie de Sandrine et Eric. Il m’a fallu une sieste de quelques heures pour me remettre de mes émotions : Je n’avait pas vu ma Sandrine depuis un bon bout de temps et elle commençait à me manquer. Escale à Inter et direction toute aux Moreaux !!!
Un après-midi et une soirée bien cosy achez ma Pépette. Plateau repas devant les DVD navets de Mary Higgins Clark : un délice de laisser aller. Je me suis gavée de paille d'or et de fromage fondu. Junkie soirée "jusqueboutiste". Dehors, Maxou et Jérôme jaillissaient de nullepart. Je les voyaient par intermittence par la fenêtre du salon. Ils avaient confection un parcours pour leurs skates avec le plancher défunt de la salle de bain.
Le lendemain était un peu plus noble, j'ai déjeuné à Ragis, dans une maison magnifique en compagnie très agréable sous un soleil joyeux et ambré. La table s’épanouissait sous les rires et le Bourgogne premier cru qui agrémentait dignement les carbonara m'a assommé non sans plaisir.
J’avais une enclume sur les épaules. Mon cou ne pouvait plus la porter, je me suis donc allongée sur le canapé et j’ai donc laissé le Bourgogne faire son œuvre.
Une fois remise d’aplomb j’ai rendu visite à Petit Miel et Bernard le clown. Ils avaient bien profité de leur journée en ayant visé quelques trous au golf de Nançay. Ils m’ont accueillie en peignoirs bleus. Durant un instant, je me suis crue à Baden Baden ou en thalasso je ne sais trop où. Mais cela ne m’a pas empêché de boire un dernier thé le temps de me mettre au courant des dernières nouvelles.
Mais déjà l’heure du départ sonnait. Mon autobus, la navette qui rejoint la gare de Gien, ronronnait sur la parking de la Poste. Le retour sur Paris se dessinait, la nuit sentait fraîchement bon. Mon voyage s’est fait dans une grande sérénité, je me sentait merveilleusement bien et j’en étais consciente. Je me suis délectée de ce moment. J’aurais pu rester dans ce train des heures durant tant je me sentais bien, confortablement installée dans mon siège, les yeux rivés sur ce paysage nocturne qui défilait paisiblement.
J'ai enfin discuté avec les parents d'Etienne. Ce dernier est parti en stage à Londres. Sa famille est allée lui rendre visite. Ils m’ont décrit un séjour agréable et culturel. J'aimerais beaucoup aller à Londres. Leurs propos et le dernier Woody Allen, Match Point, m'en ont donné l'envie. Mais j’avoue que cette destination n’est pas encore une de mes priorités.
Il y avait longtemps que je n’avais pas pris mon traditionnel petit déjeuner en compagnie de Sandrine et Eric. Il m’a fallu une sieste de quelques heures pour me remettre de mes émotions : Je n’avait pas vu ma Sandrine depuis un bon bout de temps et elle commençait à me manquer. Escale à Inter et direction toute aux Moreaux !!!
Un après-midi et une soirée bien cosy achez ma Pépette. Plateau repas devant les DVD navets de Mary Higgins Clark : un délice de laisser aller. Je me suis gavée de paille d'or et de fromage fondu. Junkie soirée "jusqueboutiste". Dehors, Maxou et Jérôme jaillissaient de nullepart. Je les voyaient par intermittence par la fenêtre du salon. Ils avaient confection un parcours pour leurs skates avec le plancher défunt de la salle de bain.
Le lendemain était un peu plus noble, j'ai déjeuné à Ragis, dans une maison magnifique en compagnie très agréable sous un soleil joyeux et ambré. La table s’épanouissait sous les rires et le Bourgogne premier cru qui agrémentait dignement les carbonara m'a assommé non sans plaisir.
J’avais une enclume sur les épaules. Mon cou ne pouvait plus la porter, je me suis donc allongée sur le canapé et j’ai donc laissé le Bourgogne faire son œuvre.
Une fois remise d’aplomb j’ai rendu visite à Petit Miel et Bernard le clown. Ils avaient bien profité de leur journée en ayant visé quelques trous au golf de Nançay. Ils m’ont accueillie en peignoirs bleus. Durant un instant, je me suis crue à Baden Baden ou en thalasso je ne sais trop où. Mais cela ne m’a pas empêché de boire un dernier thé le temps de me mettre au courant des dernières nouvelles.
Mais déjà l’heure du départ sonnait. Mon autobus, la navette qui rejoint la gare de Gien, ronronnait sur la parking de la Poste. Le retour sur Paris se dessinait, la nuit sentait fraîchement bon. Mon voyage s’est fait dans une grande sérénité, je me sentait merveilleusement bien et j’en étais consciente. Je me suis délectée de ce moment. J’aurais pu rester dans ce train des heures durant tant je me sentais bien, confortablement installée dans mon siège, les yeux rivés sur ce paysage nocturne qui défilait paisiblement.
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