Non, mais vous ne pensiez pas que j'allais penser à la galette des rois sans mentionner la pâte feuilletée François????
J'ai la chance de la connaître, de connaître son compagnon et ses 4 merveilleux enfants. J'ai aussi la chance de pouvoir goûter à sa pâte fréquemment, chez Xavier Adam, chez mon père et au Bien Aller entre autre.
Elle la modestie de croire qu'elle n'est pas si formidable que ça, mais elle est une des bonnes raisons pour laquelle je suis contente d'être revenue sur Aubigny.
A Paris, il ya le cinéma, des films que je n'aurai jamais l'occasion de voir là où je suis. A Paris, il y a des rues, des boulevards et des avenues avec une architecture comme il n'y en a pas ailleurs. A Paris, il y a des ambiances, des atmosphères, des restaurants ouverts toute la nuit, des soirées à tout casser. A paris on peut tout faire sans être juger...
Sans être juger ? Bien sûr puisque tout le monde se moque de tout le monde. A Aubigny, il y a toujours quelqu'un qui vous dira bonjour, toujours quelqu'un qui a quelque chose à raconter, quelqu'un avec qui partager un coin de table au troquet pour boire un café . A Aubigny, on a un ciné qui essaie de satisfaire tout le monde. A Aubigny, il y a aussi une architecture intéressante. A Aubigny tout le monde sait tout sur tout le monde, même des choses purement fantasmatiques sorties tout droit d'un esprit accoudé au bar du PMU ou du Bergerac. Mais moi, j'adore, même si la rumeur tombe sans doute aussi sur le coin de mon bec parfois. Peu importe après tout.
Oui, peu importe car si pour certains la vie de "village" est étouffante, moi, je trouve plutôt que l'air y est plus que respirable et, en plus, on y croise Claude François. Et à Paris,ça, ils n'ont pas !
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