29 mai 2006

Semaine du dévelopement durable

site officiel du développement durable
Pendant cette semaine, que peut-on faire pour améliorer l'ordinaire ?
Si vous laissez le robinet ouvert pendant que vous vous lavez les dents, peut-être est-ce l'occasion d'acquérir le réflexe de l'éteindre? Finalement, c'est l'histoire de 5 secondes en plus... à tout cassé...Il vous reste une main libre qui peut s'occuper utilement.
Vous pensez que c'est un détail ? Je vous jure que non !
Si vous avez l'habtude de laisser votre télé en veille plutôt que de l'éteindre complètement du poste, prenez votre courage à deux mains, dirigez vos charmantes petites fesses vers le téléviseur et pressez l'index contre le bouton noir. Oui, oui, je sais
Vous pensez que c'est un détail ? Je vous jure que non !
ça, c'est un premier exercice, pour commencer la semaine de bon pied !
J'attends vos suggestions, vos idées lumineuses, vos arguments pour mieux convaincre les internautes !!! A vos souris ! Merci !

26 mai 2006

Les bleus de Pencaitland

Cela fait 1O ans cette année que l'équipe de foot de Pentcaitland en Ecosse (tout près d'Haddington), vient au tournoi des vétérans d'Aubigny.
Chaque année, pour le week-end de l'ascension, ils dorment au CRJS comme de jeunes adolescents en vadrouille.
Ils viennent aussi pour goûter les vins de Sancerre, le champagne de Reims...
Ils repartiront vers Beauvais dimanche.
Bon voyage !

Et vous ? ce serait sans avoir fait quoi?

Je voudrais pas crever Avant d'avoir connu Les chiens noirs du Mexique Qui dorment sans rêver Les singes à cul nu Dévoreurs de tropiques Les araignées d'argent Au nid truffé de bulles
Je voudrais pas crever Sans savoir si la lune Sous son faux air de thune A un coté pointu Si le soleil est froid Si les quatre saisons Ne sont vraiment que quatre Sans avoir essayé De porter une robe Sur les grands boulevards Sans avoir regardé Dans un regard d'égout Sans avoir mis mon zobeDans des coinstots bizarres
Je voudrais pas finir Sans connaître la lèpre Ou les sept maladies Qu'on attrape là-bas Le bon ni le mauvais Ne me feraient de peine Si si si je savais Que j'en aurai l'étrenne Et il y a z aussi Tout ce que je connais Tout ce que j'apprécie Que je sais qui me plaît Le fond vert de la mer Où valsent les brins d'algues Sur le sable ondulé L'herbe grillée de juin La terre qui craquelle L'odeur des conifères Et les baisers de celle Que ceci que cela La belle que voilà Mon Ourson, l'Ursula
Je voudrais pas crever Avant d'avoir usé Sa bouche avec ma bouche Son corps avec mes mains Le reste avec mes yeux J'en dis pas plus faut bien Rester révérencieux
Je voudrais pas mourir Sans qu'on ait inventéLes roses éternelles La journée de deux heures La mer à la montagne La montagne à la merLa fin de la douleur Les journaux en couleur Tous les enfants contentsEt tant de trucs encore Qui dorment dans les crânes Des géniaux ingénieurs Des jardiniers joviaux Des soucieux socialistes Des urbains urbanistes Et des pensifs penseurs Tant de choses à voir A voir et à z-entendre Tant de temps à attendre A chercher dans le noir
Et moi je vois la fin Qui grouille et qui s'amène Avec sa gueule moche Et qui m'ouvre ses brasDe grenouille bancroche
Je voudrais pas crever Non monsieur non madame Avant d'avoir tâté Le goût qui me tourmente Le goût qu'est le plus fortJe voudrais pas crever Avant d'avoir goûté La saveur de la mort...

Boris Vian

23 mai 2006

Sur la route Jacques Coeur

J'aime bien trouver le petit truc devant lequel on passe tous les jours et qu'on ne remarque pas vraiment.

Située entre Gien et Coullons, sur la route qui mène à Aubigny, cette maison m'est apparue il n'y a que quelques mois.

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19 mai 2006

Grand Vide Grenier Albinien : 21 mai 2006 !!!!

C'est l'occasion rêvée pour manger de bonnes andouillettes à la buvette de M. Letourneau, fabuleux boucher de la rue du Prieuré !

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C'est aussi l'occasion d'aller chatouiller les moustaches blanches de mon cher Papa qui étale, comme chaque année ses "chineries" face au Château, juste à côté de la blibliothèque municipale.

Rappelez-vous : le 21 mai à Aubigny sur Nère !!!!!!!!!

17 mai 2006

The last of the famous international playboys

J'aime bien les Smiths, c'est vrai. Ce qui semble être une chance puisque je suis ainsi entrée en contact avec un internaute intéressant.

La voix toute particulière de Morrissey, ses textes sont toujours élégants à l'instar du compositeur interprète qu'il est.

J'aime la guitare qui vibre sous les doigts habiles de Johnny Marr. Elle a fait naître un nouveau son. Je l'aime surtout quand elle m'entraîne dans "Bigmouth Strikes Again". Mais c'est dans des titres comme "What difference does it make" ou "this charming man" qui marque bien l'empreinte musicale du groupe, .... Il y en a d'autres, mais ce sont ces chansons qui me viennent à l'esprit, tout suite, maintenant.

Les Smiths prennent tout leur sens en 1982. Ils atteignent la consécration avec l'album the "Queen is dead", mais ils se sépareront fin 1988 (d'autres disent 87). Johnny Marr en a... assez (eh oui, c'était tentant, mais non, pas de jeu de mot).

Morrissey continue la route tout seul. Je ne connais pas beaucoup ses morceaux, mais j'affectionne deux chansons :

"Speedway" et "The last of the famous international playboys", surtout à cause d'un couplet

"I never wanted to kill
I am not naturally evil
Such things I do
Just to make myself
More attractive to you
Have I failed ? "

Si vous lisez bien l'anglais, je invite à jeter un coup d'oeil sur les textes de Morrissey, parfois énigmatiques, parfois bourrés de spleen, souvent engagés ou nombrilistes. Ils sont toujours près de l'excellence à mon goût. Beaucoup de ses morceaux conviennent tout à fait à ces moments de vague à l'âme qu'on a envie de carresser dans le sens du poil. Vous venez de rompre? Ecoutez donc "I know it's over" et complaisez-vous dans cet état, le temps de sombrer un peu avant de remonter à la surface.
Morrissey est un vrai "Irish blood English heart", un dandy rebel, un séduisant paradoxe*. Tiens, je dirais même, qu’il est un peu à la pop anglaise ce qu'Oscar Wilde est à la littérature, la misogynie en moins !

*Paradoxe : Opinion qui va à l'encontre de l'opinion communément admise (Le petit Robert)
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Certains sites proposent des traductions, mais je déconseille ce procédé qui tue tout le charme des textes qui tirent aussi leur beauté par l'agencement des mots, l'accompagnement musical et la voix unique du chanteur: (cf. There's a light that never goes out)

Plan du centre d'Aubigny


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J'ai piqué la carte sur http://sauldreetsologne.hautetfort.com/...
Les plans d'Aubigny sont une denrée rare.

16 mai 2006

Je Baffe donc je suis - Libération du 16 mai 2006

Voici un article que j'ai lu ce matin et qui m'a "plu"- pour la réflexion qu'il développe et non pour les faits qu'il dénonce, bien évidemment.
"Je baffe donc je suis" de par David LE BRETON
Dans la rubrique Rebonds de Liberation (http://www.liberation.fr/)
Une enseignante est agressée par un élève, et l'action est tranquillement filmée par un autre qui exhibe ensuite le trophée sur l'Internet. Ailleurs, ce sont d'autres prouesses qui sont enregistrées et diffusées: des violences physiques, sexuelles, des scènes d'émeute et de destruction de biens, des affrontements entre groupes rivaux, des agressions mineures dans la rue sur des inconnus à l'image du happy slapping («joyeuses baffes»). Ces scènes deviennent ensuite des sortes de médailles envoyées sur l'Internet pour valider l'exploit. Par ailleurs, d'innombrables sites tiennent à la disposition des amateurs des répertoires de scènes de viols, de tortures, de meurtres que n'importe qui peut télécharger moyennant finance.
Sur un autre registre, mais lié, des chaînes commerciales passent à des heures de grande écoute (de grande vision plutôt) des séquences d'ultraviolence empruntées à l'actualité, sans grand souci de la souffrance des victimes ou de leur famille. Des émissions spécialisées les réunissent parfois dans des sortes de best-of. Sur un mode plus soft, les émissions fondées sur le principe de «piéger» quelqu'un dans la vie quotidienne pour jouir en voyeur de la situation se multiplient, sollicitant même des enfants, mettant à vif le nerf des adultes. Des téléspectateurs eux-mêmes envoient les séquences vidéo où un proche s'est involontairement couvert de ridicule ou blessé. Le happy slapping est dans l'air du temps comme une sorte d'ambiance générale. Des émissions cultes pour les jeunes comme Jackass ou Dirty Sanchez, où la provocation devient une forme d'humour, en sont une illustration ludique (mais consentie par les acteurs).
Là où, autrefois, l'attrait de la régression était barré par des interdits encore relativement agissants, étayés par une présence des parents ou d'autres adultes, vigilante en termes d'éducation, l'interdit est battu en brèche par d'autres modalités éducatives plus centrées sur le laisser-faire et l'autorégulation, car fondée sur le sentiment d'autonomie de l'enfant.
Pendant que les parents perdent leur influence éducative, que l'école peine à établir les règles d'une citoyenneté partagée, une part des jeunes entre sous l'influence d'une culture des pairs tout entière régie par l'univers de la consommation et de la publicité, accentuant encore l'écart entre les générations. Aucune instance n'est plus en mesure de dicter des conduites, d'induire des normes morales, l'expérimentation commande une part du rapport au monde, le corps à corps venant éventuellement à la place de repères de sens ou de valeur partagés.
Un manque de distinction est souvent décelable chez certains jeunes entre les prérogatives de l'espace privé et les exigences sociales de l'espace public. Les contraintes propres à ce dernier sont volontiers vécues comme une brimade ou comme une ressource pour une provocation ludique des autres, et notamment les adultes. Nombre de jeunes ne sont plus culpabilisés par ces comportements, ils sont à l'inverse dans la jubilation de titiller ce qu'ils n'ignorent pas de l'interdit des autres, car si ces derniers sont inopérants en eux, ils savent le degré d'agacement, de gêne ou d'effroi qu'ils suscitent à leur entour. Ils satisfont à la fois une régression pulsionnelle et se replient dans la toute-puissance de l'enfance, tout en mesurant également leur pouvoir d'action sur les autres. Ce jeu de provocation est soutenu par une organisation sociale qui tend à se juvéniliser et à proposer ces régressions comme un modèle de comportement. Après soi le déluge.
Dans une société où les limites se négocient en permanence, il convient de savoir jusqu'où aller. Souci par ailleurs typiquement adolescent, accentué par le contexte contemporain de désorientation du sens et la nécessité d'établir par soi-même les codes de ses relations aux autres et au monde. Forcer le trait est une bonne manière d'attirer l'attention. Maints comportements de la vie quotidienne sont de cet ordre, avec la volonté de troubler le regard des éventuels spectateurs d'une autre classe d'âge. Ces attitudes tendent à devenir courantes dans les lieux publics ou les transports en commun (bousculades à grands cris, pets, rots, baisser son pantalon, interpellations bruyantes...). Le tout assorti de regards en coin pour évaluer le degré de réussite de la provocation. Nous sommes désormais dans des sociétés d'expression libre du plaisir, où la jouissance est de droit.
Si l'autre n'a guère de statut, la honte n'a plus lieu d'être car la pudeur est disqualifiée. Paraître n'a plus pour l'adolescent le sens de comparaître car le regard d'autrui est sans incidence sous cet aspect. Seul importe le fait de se faire plaisir. La reconnaissance n'a de valeur que venant des pairs, et surtout pas du père ou des aînés. C'est un monde du proche, de copains, et non du lointain, témoignant d'une altérité. C'est un monde de toute-puissance puisqu'il n'intègre pas dans ces comportements la place de l'autre. L'absence de honte traduit le moi grandiose de certains adolescents dans leur volonté d'autoengendrement, ils prétendent non seulement ignorer les règles et les valeurs du lien social, mais entendent de surcroît provoquer ceux qui les regardent. Le jeune est assuré de la connivence d'une partie de ceux de sa classe d'âge, en ce sens il n'est nullement dans la subversion des modèles de civilité mais dans leur renforcement puisque la transgression engendre ici le rire et le mépris à l'encontre des victimes. Le jugement dépréciatif des autres est recherché comme une incitation à aller plus loin encore.
Ces comportements sont essentiellement masculins, renchérissant sur de vieilles valeurs de la virilité où il s'agit d'être le meilleur en multipliant les épreuves: qui pisse ou crache le plus loin, qui «tombe» le plus de filles, qui a «la» plus longue, qui «ose» agresser un passant ou une connaissance, qui a insulté le plus copieusement les CRS, ou mis le feu à une voiture, etc. Les filles sont absentes ou spectatrices éblouies de ces joutes viriles. Rites mineurs de virilité qui ne se contentent plus de la parole, mais exhibent le trophée de l'action au plus grand nombre pour alimenter de nouvelles formes d'héroïsme.
Le souci de perdre la face, d'éprouver honte ou responsabilité face à ses comportements n'est plus à l'ordre du jour. Au contraire, les adeptes du happy slapping sont de parfaites illustrations de l'individualisme contemporain. Détachés de leur sentiment d'appartenance à un ensemble, les autres ne sont à leurs yeux que des figurants. Bien en phase avec le cynisme et le mépris qui pénètrent nos sociétés, ils ne peuvent se mettre à leur place, aucun «autrui généralisé» n'a été intégré en eux. Leur moi est sans autrui auquel on pourrait rendre des comptes.
Dernier ouvrage paru: la Saveur du monde. Une anthropologie des sens, Métailié.

15 mai 2006

Teknival Chavanne : Arrêt sur image

Très souvent, le dimanche, lorsque je suis tranquille à domicile, je regarde la carte gourmande et arrêt sur image, deux émissions sur la 5.

Hier, j'ai été très contente d'avoir l'opportunité de voir arrêt sur image (http://blog.france5.fr/arret-sur-images/) . C'est un moyen assez efficace de revoir les images d'une semaine de télévision sous un point de vue différent. Les journalistes du programme observent la manière dont les chaînes traitent les faits d'actualité. Ils mettent en relief les détails qui font la nuance entre chacune. Par exemple. Comment TF1 traite « Clearstream », qu'en est-il de France 2 et des autres canaux télévisuels.

C'est grâce à Arrêt sur Image que j'ai enfin su la vérité sur les fameux chiens éventrés à Chavanne. En l'occurrence, aucun chien mort n'a été retrouvé sur le site du Teknival. En plus, une seule personne (une de trop) est décédée et non deux comme certains journaux le stipulaient.

La Préfecture du Cher a diffusé une note officielle à ce sujet. J'ai essayé de la trouver sur internet, mais pour l'instant mes recherches sont vaines.
Par contre, j'ai trouvé cette dépêche : Sur protection des animaux (Cliquez dessus).
Je suis bien désolée d'avoir diffusé une brève allant dans le sens de la rumeur il y a deux semaines. Je m'en veux autant qu'au journaliste du Parisien qui a écouté les propos mensongés d'un pompier et d'un agent chargée de l'entretien du site. Deux témoins qui ben sûr sont restés anonymes.
Il m'a fait pleurer, il a fait plusieurs de mes amies. Il a donné de l'eau au moulin
à des individus qui n'attendent que ça pour nous faire comprendre que seuls les boy-scouts blnods aux yeux bleus sont des jeunes fréquentables.
Neanmoins, il faut savoir que la technique du "in-corporé" existe bien et qu'elle a été utilisée à plusieurs reprises sur certains chiens par des trafiquants de drogue peu scrupuleux (quoi? pléonasme??? Ah oui, pardon).
Des douaniers s'en sont rendus compte en Angleterre : deux labradors qui ne se portaient pas bien ont éveillé leur suspicion : leurs propriétaires les avaient farci comme des dindes de Noël !!! Bien sûr il ya d'autres cas, mais je ne suis pas assez maso pour les citer...

11 mai 2006

La mairie gagne la guerre contre les nitrates !

Bientôt les albiniennes enceintes pourront faire leur tisane et leur déca avec l'eau du robinet !
En effet, il est fortement déconseillé de boire l'eau du robinet, même bouillie, lorsqu'on vit à Aubigny et que l'on attend un bébé. D'ailleurs, dernièrement, une circulaire nous avertissait de ce souci .
Dites adieu aux nitrates !!!
Notre maire qui, je vous rassure, n'est ni enceinte, ni un nourrisson, nous le prouve en buvant à la source l'eau qui coulera bientôt dans les tuyauteries albiniennes !

10 mai 2006

Eric et Gaspard au Bergerac

Les histoires de Tchoupi sont très passionnantes.

09 mai 2006

Le Webster Online : dictionnaire anglais très bien fait

Le Fameux Webster est en ligne
http://www.m-w.com/

Pour ceux qui ont besoin d'un dictionnaire franco-anglais :
dictionnaire Google "multi-langues"
http://www.google.com/language_tools?hl=fr

9 Mai 2006 : La fête de l'Union Européenne !!!!!!!!!!!!!!!

Voici quelques sites traitant de l'Union Européenne sous différents angles.
http://www.touteleurope.fr/

Apprendre l'Union Européenne de manière ludique
pour les petits et les plus grands : des jeux... se tester : connaissez-vous la carte géographique de l'Union Européenne ? Apprenez à placer l'Estonie, Lithuanie et Lettonie correctement. Il est temps !!!

Voici la carte où replacer les pays :
http://pages.infinit.net/vivo/geojeu/partez_europe.htm
http://olivier.leflon.free.fr/jeux/europe.htm

Apprendre l'Europe

http://www.lespetitscitoyens.com/

L’Europe en videos
http://www.tv5.org/TV5Site/ujee/
http://www.fenetreeuropetv.com/video/videoframe.php http://www.flashplayer.com/animation/europeanditaly.html

Définition et informations sur wikipedia
L'Union Européenne est une organisation internationale qui regroupe la majorité des Etats du continent européen. Cette organisation à la fois intergouvernementale et supranationale a été établie avec cette dénomination par 12 États avec le traité sur l'Union européenne en 1993. L'Union européenne complète et comprend la Communauté européenne, précédemment dénommée Communauté économique européenne, dite aussi Marché commun, ainsi que deux formes de coopérations institutionnalisées, la Politique Étrangère et de Sécurité Commune (PESC) et la coopération en matière de justice et d'affaires intérieures.
L'Union regroupe vingt-cinq États européens depuis le 1er mai 2004 : l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, Chypre, le Danemark, l'Espagne, l'Estonie, la Finlande, la France, la Grèce, la Hongrie, l'Irlande, l'Italie, la Lettonie, la Lituanie, le Luxembourg, Malte, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, le Royaume-Uni, la Slovaquie, la Slovénie, la Suède et la République tchèque...

05 mai 2006

VIVA... RIUM

Mine de rien, à Bricomarché, on peut aussi rêver de grands larges et de profondeurs marines...



Mais je me réveille au rayon rateaux puis je me rends compte que je suis loin d'être une sirêne, que je ne serais plutôt qu'un aquarium

04 mai 2006

Echo : Prochaine Expo du Bien Aller

Je ne sais pas quand ça se fera , mais je sais ce que ce sera.

Voici le lien qui vous permettra d'avoir un avant goût du travail photographique d'Olivier Pojzman. Cette exposition sera affichée après celle de Sébastien Chaillou, actuellement sur le murs de mon restaurant préféré.

Teknival Chavanne, Cher (1er mai 2006)

GROSSE INTOX !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Youpiiiiiii !!!!
"Une quinzaine de chiens retrouvés morts sur les lieux du Teknival à Chavanne dans le Cher.
La drogue que les dealers ont cachée et refourguée aux teufeurs, a été glissée dans les estomacs des chiens, qui, une fois sur le site de la gigantesque rave party, ont été sommairement éventrés et abandonnés.

Voilà l'être humain... J'ai honte d'en être un. "

02 mai 2006