http://www.observatoire-medias.info/article.php3?id_article=600
"vous pourrez lire sur ce site (observatoire medias info) un article intéressant
Malgré son statut sanitaire de maladie animale, l’épizootie d’influenza aviaire qui semble se généraliser à de nombreux pays à partir du son foyer d’origine dans l’Asie du Sud-Est, se trouve de plus en plus assimilée à une maladie humaine, la grippe. L’étude de l’emploi des mots, influenza, grippe et peste dans les articles de presse écrite, grand public et spécialisée, montre comment la sémantique joue un rôle dans le statut social de ce qui n’est encore qu’une maladie animale et dans la représentation qu’en font les opinions publiques."
"vous pourrez lire sur ce site (observatoire medias info) un article intéressant
Malgré son statut sanitaire de maladie animale, l’épizootie d’influenza aviaire qui semble se généraliser à de nombreux pays à partir du son foyer d’origine dans l’Asie du Sud-Est, se trouve de plus en plus assimilée à une maladie humaine, la grippe. L’étude de l’emploi des mots, influenza, grippe et peste dans les articles de presse écrite, grand public et spécialisée, montre comment la sémantique joue un rôle dans le statut social de ce qui n’est encore qu’une maladie animale et dans la représentation qu’en font les opinions publiques."
Sources: Ministère de l'Agriculture, 8 mars 2006
N'abandonnons pas les chats !
Alerté par des organisations protectrices des animaux après de nombreux abandons de chats ces derniers jours, Dominique Bussereau tempère. "Il n'y a aucune raison d'abandonner les chats ou d'autres animaux de compagnie".
Même s'il devrait ne jamais y avoir aucune raison pour cela, signalons que le ministre donc, souligne que c'est vrai aussi "même dans les zones touchées par l'influenza aviaire"... Dans un communiqué de presse, le ministre de l'Agriculture rappelle donc les récentes conclusions de l'Agence française de Sécurité des Aliments (AFSSA) sur ce sujet.
Il insiste notamment sur le fait que "le risque d'infection de l'Homme à partir du chat peut être considéré comme nul à négligeable". Quant aux mesures de restrictions liées à la circulation d'animaux domestiques dans les zones où un cas de H5N1 a été confirmé, elles "visent principalement à éviter une contamination des élevages et des oiseaux sauvages".
Même s'il devrait ne jamais y avoir aucune raison pour cela, signalons que le ministre donc, souligne que c'est vrai aussi "même dans les zones touchées par l'influenza aviaire"... Dans un communiqué de presse, le ministre de l'Agriculture rappelle donc les récentes conclusions de l'Agence française de Sécurité des Aliments (AFSSA) sur ce sujet.
Il insiste notamment sur le fait que "le risque d'infection de l'Homme à partir du chat peut être considéré comme nul à négligeable". Quant aux mesures de restrictions liées à la circulation d'animaux domestiques dans les zones où un cas de H5N1 a été confirmé, elles "visent principalement à éviter une contamination des élevages et des oiseaux sauvages".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire